vendredi 18 juin 2010

18 Juin : Appel du Lonzac !



"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des gouvernements occidentaux, ont formé un G20.

Ce G20, alléguant la défaite face au monde de la finance, tente de le « réguler »

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force et l’imagination des banquiers

Infiniment plus que leur nombre, ce sont leur puissance financière et leur inventivité qui nous font reculer. Ce sont leur puissance financière et leur inventivité qui ont surpris nos dirigeants au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a de vaste réserves derrière elle. Elle peut faire bloc avec l’Europe qui tient l’Euro et continue la lutte. Elle peut, utiliser sans trop de limites l'immense soutien des Etats-Unis.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par les puissances de l’argent, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une imagination supérieure. Le destin du monde est là.

Actuellement au Lonzac, j'invite les Français du monde entier, avec courage et détermination, j'invite les entrepreneurs et les salariés - et tous les autres - à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain, comme aujourd'hui, je parlerai sur "Je vous embrousse très fort".

Bon, d'accord, je n'ai pas pu m'en empêcher ... Il suffisait de remplacer dans le texte historique "les forces armées" par "les puissances financières" ...
Etrange ?

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